Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
À l’occasion de l’arrêt Skanska, la Cour de justice de l’Union européenne avait jugé que, s’agissant du contentieux indemnitaire lié aux pratiques anticoncurrentielles, l’identification du débiteur des dommages-intérêts doit suivre l’approche économique adoptée par les autorités de concurrence. L’arrêt Sumal applique cette solution dans une situation dans laquelle la responsabilité d’une filiale est recherchée au titre d’une infraction au droit de la concurrence commise par sa société mère. L’arrêt apporte certaines précisions utiles, même si le raisonnement laisse perplexe.
Co-signé avec W. Brillat-Capello